En réponse à cette belle nouvelle et en plus de mes félicitations à la récipiendaire , je rajouterai en répondant à Nourdine qu’il n’y aura jamais de concurrence entre un directeur d’un groupe Hôtelier et le modeste technicien de cuisine que j’essaye d’être au travers d’une gourmandise permanente basée sur des sensations physico-chimico-personnel qui secoue en permanence mon corps insatisfait (ouf) .
Et j’ajouterai que l’hôtellerie dans toutes ses composantes se rapproche du salut Scout :
Une main ouverte représentant la totalité de la troupe et donc des brigades, le pouce replié sur le petit doigt (le grand protège le petit) dans une main qui représente le tout.
Résumons,
Et toujours dans mon état d’esprit, Cher Eugénie Colatrella, je vous félicite pour votre brillante réussite et souhaite vous soumettre une de mes préoccupations d’importance.
Je fréquente sur le forum de Skikdamag un groupe de machos, des hommes quoi, qui au nom de leur statut, ne peuvent pas répondre à ma question du moment.
Je serai honoré et comblé si par votre position dans la profession vous pourriez m’obtenir la recette de la CHERCHOUHRA ET NON PAS TCHOUKTCHOUKA comme certains ont essayez de dire. Car je cuisine depuis 50 ans un succédané de cette recette avec en bouche un parfum souvenir chargé d’émotion et de partage à un âge ou l’on débute dans la vie professionnel.
Il est trop tard pour moi de vous proposer mes services, cependant un modeste marmiton a toujours quelque chose à dire.
Vous êtes trop jeune pour vous présenter mes hommages, aussi c’est Grand-père Gérard avec votre ACCOR qui vous fait la bise. Bouns .
NB : J’ai toujours aimé cette pensée du Grand Curnonsky sur la perfection d’une recette de cuisine valable aussi pour toute l’Hôtellerie :
QUE SERAIT UN CORNICHON S’IL ÉTAIT MOU SUCRÉ ET ROSE