Noms de rues

Merci Michel et à toi aussi Gilles,
Mathiot sur ta rue henri tessier, il y avait le magasin du frère à assencio le défenseur du sporting, il était court de taille, le restaurant était toujours en activité il y a une dizaine ou une quinzaine d'années.
Il était à l'angle nemours et la rue qui monte vers marengo et les escaliers qui débouchent derrière la rue de la prison civile, maintenant il est fermé Pirone pour ceux qui ne la savent pas est représenté actuellement par deux magasins un boucher et un autre alimentation générale.
Ton paté de maison est encore intacte, il abrite les services des contributions diverses et c'est du haut du cinquième que tu communiquais par gestuelle avec ton ami de l'hopital tu as une vue perçante pour deviner le moindre geste à interpréter.
souvenir quand tu nous tiens.
la description me permet de recadrer mes souvenirs.
et la rue qui fait angle avec le restaurant et qui monte vers marengo l'appellation STP.
MERCI AMICALEMENT A VOUS
NOURDINE

La rue qui monte vers MARENGO c'est la rue d'ORLEANS. D'après mon plan, elle comporte 8 séries d'escaliers. Ce qui est assez original pour une rue. C'est la seule je crois qui en comporte autant. Elle traverse la rue Didouche-Mourad et l'ancienne rue Passerieux pour butter encore sur des escaliers au bas de la pente du Skikda. Au milieu de ces escaliers il y avait un oiseleur chez lequel mes parents m'avaient acheté un couple de perruches pour mon anniversaire, une verte et une bleue. J'en avais fait filer une sur le toit d'en face en nettoyant la cage.


Michel

bonjour mathiot,
effectivement je voulais que quelqu'un arrive à cette remarque que cette rue comporte le plus grand nombre d'escaliers  en comptant ceux de passérieu et en prolongeant sur les hauteurs de la rue nationale et ça se prolonge jusqu'au quartier des steffanini rue du jardin ou de paris.
Excellent observateur michel chapeau.
L'oiseleur en question qui occupait une petite boutique au milieu des escaliers de passérieu s'est reconverti en vendeur d'articles de pêche.
le chardonneret est en voie disparition si ce n'est d'extinction (braconnage abusif) a été classé espèce protégée, il était commercialisé par des réseaux via la tunisie en italie, l'oiseau de la région est réputé pour être un bon siffleur.
Maintenant c'est la mode d'avoir un chardonneret, il est un phénomène actuellement c'est que tu vois l'ensemble des jeunes trainaient dans les rues avec leur fétiche dans la cage et dorloté pardi.
Michel je profite de ta cartographie mentale pour continuer à m'indiquer une autre rue.
Voila je suis à la rue georges clemenceau, je gravis les escaliers rue nemours, henri tessier, joinville,
et enfin la rue valée prolongée qui finit au 61 ème de ligne (nom stp) ensuite rue antoine bruno prolongée, rue marengo et une rue qui fait face aux escaliers de la goutte au lait et qui debouche vers le logement de mme audibert en montant vers l'hospice.
De cette manière j'ai reconstitué dan,s ma tête les noms anciens de toutes les rues du quartier napolitain ( houmate etaliène)
amities merci
nourdine

Entre la rue A-Bruno et la rue Marengo il y a la rue du 3ème Bataillon d'Afrique (une des unités arrivées avec Galbois ou Valée (je ne me souviens plus) en 1838), qui aboutit à la place Victor-Hugo où se trouve le collège. Au dessus de la rue Marengo il y a la rue Hippocrate (dont bien des médecins aujourd'hui devraient se rappeler) qui aboutit sur des escaliers au-dessus de l'école Ferdinand-Buisson.
J'en profite pour te rappeler un bon reportage photographique de Claude Stéfanini qu'il avait réalisé en 2005 et qui figure dans Ecole-Rusicade. On y trouve beaucoup de rues du Quartier italien, surtout vers chez lui.
J'avais un copain de l'école Ferdinand-Buisson qui s'était fait piquer après avoir fait l'école buissonnière. Il avait dit qu'il était allé à la chasse aux chardonnerets. D'un autre côté j'avais un oncle (Monéglia) qui m'avait conduit à Saint-Antoine et qui m'avait acheté là un chardonneret dans une petite cage en carton pas plus grosse que l'oiseau.

Amicalement

Michel

mathiot bonjour,
merci pôur le tuyau sur le reportage de stef que je saluts ti auras compris qu'il s'agit du 4ème.
Ma mémoire n'est pas telleement fiable qu'elle me joue des tours.
Tes précisions  et tes rappels m'ont été d'une grande utilité.
pour oudjani tu es toujours dans mon esprit l'occasion ne s'est pas présentée.
A plus.amitié
nourdine

Perso, j'ai habité cette rue : nous occupions la ville Linossier ! Je connaissais son histoire !

c'était ton quartier et plus bas celui de gilles, moi j'écumais ce coin où j'allais vers les prairies du mont plaisant après la ferme ou porcherie de Materra, pour allez plus bas cueillir les baies, les myrtilles et rentrer à la maison avec la bouche toute encrée et les vêtements tâchés. les meilleurs moments étaient les premiers jours de printemps au moment de l'éclosion des mimosas et des pâquerettes, on se retrouvait par famille entière les enfants jouaient dans la nature, ensuite c'est la pause on s'offrait les fleurs et une collation est offerte faite de BRADJ ( petites galettes au beurre avec au milieu une fine couche de dattes écrasées) accompagnées de petit lait et on était heureux de ces moments de liberté
où l'on retrouvait celle pour qui on pinçait à cette âge.