Photos récentes de Skikda

Sentiment très bien ressenti et tout aussi bien exprimé par Nourdine.
Le fait de parler de tout ce que nous avons connu (lieux, moments, gens) font que nous avons le sentiment de nous être connus tous, depuis longtemps. C'est magique ! (comme disent les jeunes).
 
Une fois de plus Nourdine, ressentant "juste", tu ranimes la flamme de l'amitié.
 
Bonne journée à tous nos "Forumeux",
Sc.

Bonsoir à tous et à toutes,
En effet les sept ilôts dénommés les "7 iles"  était un endroit prisé des plaisanciers, je me souviens fort bien de la belle ondine sur l'un des rochers qu'était Mme Salesses femme du docteur qui adorait cet endroit et se dorer au soleil et se baigner en plongeant du haut du rocher dans une eaux si limpide qu'on voit les poissons. En traversant toute cette baie de Oued Tanger on arrive à la tête du Veau Marin pour déboucher sur les ilots les "2 frères" ou les fradders ne pas confondre avec les deux frères de Toulon et enfin oued Bibi et la Figurine. 
Stef? Gérard  et Chaze vous devez avoir des souvenirs à partager en ces lieux magiques où le gros poisson abondait, les journées passées jusqu'au coucher du soleil quand tu rentrais à la marinelle, au sport nautique ou à Stora certes fatigué mais heureux de ces moments qui sont toujours en nous.

Claude Cacciutolo bonsoir,
Dis moi stp la fameuse pointe n'est pas du genre qui existe sur le marché, mais celle que j'ai vu aujourd'hui  est clouée dans une interstice  de la paroi, la tête plate assez large  en forme d'un cône à quatre côtés aplatis dégrossi et pointu vers le bas  elle a du certainement été faite par quelqu'un qui maniait le fer
elle semblait très rouillée légèrement recourbée vers le bas.
Sa situation c'est (dos à la mer) entre le rocher où il y avait le plongeoir et les escaliers du pont côté tunnel de stora ( j'ai pris des photos ) maintenant si c'est ce souvenir  qui est ancré je t'envoie les photos par le biais de mon ami gilles.

Bonjour Nourdine,
Gilles m'a transmis les photos de fameux clou dont je t'avais parlé en évoquant le temps heureux de notre enfance. Tous les ans pour le 15 aout, ma famille campait pour une semaine au moins sur la plage de pont romain. Un soir que la mer était plus grosse et menaçait les installations l'oncle, ancien de 14/18 dans la marine et chaudronnier aux ateliers de la SNCF, avait assuré la sécurité en plantant un gros clou dans la muraille du pont. De cela, il y a très longtemps, j'avais juste quelques années, il y aurait donc dans les 70/80 ans. Seule la mémoire qui embellit tout, de cette époque de liberté dans un pays chaleureux aux paysages de rêve peut résister mieux qu'un clou qui lui n'en doutant pas à dû subir les assauts du temps et de la mer. Peut-être, est-ce vraiment lui après tout  Mais toi, comme moi, comme nous tous, qui aimons ce pays où nous sommes nés, accrochons -nous à ce clou avec ce qu'il y a de plus beaux de nos souvenirs et petites anecdotes. Gilles ou Jacky mettrons bien l'image de ce clou. Et pour te remercier de parcourir notre imaginaire avec ton appareil de photos et de le rendre ainsi à la réalité , je te fais une 'crianze'. C'est à dire comme pour le temps de Pâques,(déjà passé), je t'offre un casadielle


Cordialement Claude
(Je vais essayer à nouveau d'envoyer cette image) Voila Claude c'est fait ! et bonne appétit. Amitiés Jacky

Bonsoir Claude,
Dans mon précédent message, je disais que c'est un clou particulier réalisé par un homme qui maniait le fer ( je pensais à un forgeron), il est très spécifique et rappelle les anciennes grosse pointes évasé par le haut sur quatre côtés et pointu par le bas, ce n'est pas le genre de clou que l'on trouvait sur le marché et voila que tu me confirmes qu'il a été réalisé dans les ateliers.
Auparavant j'avais cherché mais je n'avais pas trouvé et lorsque bien plus tard en promenade avec ma demie, on s'est arrêté entre le plongeoir et les escaliers, c'est alors qu'elle a attiré mon attention en se penchant pour me dire ce clou ce n'est pas celui de ton copain, alors je suis descendu à la plage  enjambant le ruisseau mais je voyais rien, c'est en m'approchant que j'ai découvert ce souvenir, si il a résisté il en a pour cent ans encore lui sera toujours là parce que façonné à la main et avec amour pour durer.
A chaque fois que je passerais une pieuse pensée.
amicalement

amicalement
nourdine

Le "clou du spectac' " sera mis en ligne par notre ami Jacky. Quelle belle histoire il a cet objet.
Merci à notre ami Nourdine et au sens d'observation de sa Moitié qui a su faire le judicieux rapprochement. Claude sera pleinement satisfait lorsque cette pièce unique sera en ligne.
Toi le Passant, aie une respectueuse pensée pour le réalisateur de cette pièce de musée car elle a une touchante histoire.

Bravo pour le clou. On n'arrête pas de le regarder, pour tout ce qu'il représente, notamment le temps qui s'est écoulé. Sa matérialité fait inévitablement une liaison à l'intérieur de nous-mêmes. Et ce clou me donne l'impression que c'était hier. C'est sans doute l'aspect concret du clou qui fait ça. Alors qu'il n'est rien de plus dérisoire qu'un clou. J'avais eu la même réaction sur place quand j'avais revu Philippeville. Je ne m'y attendais pas.
D'après moi la photo N° 7 montre l'angle de la rue Saint-Augustin, côté vers la rue de l'Arsenal. Il y a une petite niche caractéristique dans l'angle à l'étage, qui contenait une statuette, que j'avais repérée en une autre occasion pour les besoins de mes recherches, ce que m'avait confirmé un habitant de l'immeuble.
Michel

Photo N° 7, quelques précisions.
Il s'agit bien du croisement Saint-Augustin/Clémenceau.
Au niveau du prêt-à-porter CUTAJAR et de la quincaillerie MUSCAT et DEBRINCAT. Un peu plus bas se trouvait la pharmacie MALEVAL.
L'immeuble est celui qui se trouve en arrière plan de la célèbre photo de Paris-Match du 3 septembre 1955 (rafle le 20 août). L'occupant m'avait demandé si je savais si la statuette existait toujours. Nous avons la réponse grâce à Nouredine. D'après lui il s'agissait peut-être d'une statuette de Saint-Augustin. Personne n'est mieux placé que lui pour répondre à la question et donc nous ne le aurons pas.
Michel.

bonsoir à tous,
Michèle tout a fait d'accord, gilles tu n'y es pour rien mais je ne sais pas pourquoi ce cinéma le rivoli à la peau dure dans ma tête c'est la rue qui monte  vers les escaliers des Hbm en tournant à droite on débouche sur la rue de la caserne des sapeurs pompiers pour aller au rivoli et c'est aussi celle qui traverse la rue clemenceau pour aller vers la rue antoine bruno escaliers à droite de l'immeuble le musée ou le mizzi.
Quant à la partie des arcades côté maleval elles sont soutenues par des arceaux en fer voir photos n°2 et dernière. Il existe aussi une niche plus haut à l'angle rue clemenceau ( ancienne société générale) et celle qui monte vers les escaliers du théatre romain je pense la rue orléans. j'enverrais une photo
La pharmacie Daruty, à l'angle de la rue clemenceau et celle de france qui débouche plus haut vers la rue de l'arseneal et les casernes, cette dernière est une officine de la caisse de sécurité sociale.
Tu sais au sujet de la macaque qui est sur la carte l'ilot des lions, il y a deux petits rochers à fleur d'eau qu'on dénommait les lionceaux certainement en référence au lions et sa progeniture, mais la macaque pourquoi ???? est-ce que les singes fuyaient les lions en nageant vers cette ile il n'y a que les anciens pour nous apporter la réponse, les singes magots existent toujours du côté de l'aquapeze et la remontée de grande plage je les ai aperçu pour la dernière fois en 1995 sur les hauteurs d'une crique avant d'arriver aux bassins de la pine.
Merci claude pour la mouna, une amie de Savoie m'a envoyé une photo de la mouna sans l'oeuf qui symbolise bien la pâques.
j'espère que cette pratique de la mouna sera transmise aux générations futures parce qu'elle est une partie de l'histoire commune à préserver.
amicalement.

La photo 5 nous situe au point de montée de la rue du Montplaisant à partir de la route de Constantine.
En 20 ans, je pense être passé plus de 10 000 fois à l'angle de cette maison (garage BUONO) pour aller à l'école du Faubourg, pour aller acheter le pain au quotidien (soit chez Louiso VITIELLO près de l'école, soit chez REGUERAZ pas loin du Café de l'Espérance de Marie REYNAUD) et pour aller à Ste Thérèse (office religieux ou parties de foot derrière l'église).
Sur le trottoir d'en face, se tenait parfois Blanchette (bien sûr c'était un Noir) ; il vendait du poisson (autour des années 50) ; qui se souvient de lui ?
On y rencontrait parfois Pique-Bois sur cet espace devant le café (on disait le Café Maure) à  côté de l'épicerie de Madame ARRIGHI : là, avec 40 sous (deux francs d'Après-Guerre) on achetait des caroubes dont on raffolait - c'était l'époque antérieure aux bonbons, aux carrés de chocolat, aux chewing-gum ... 
(Et Pique-Bois = pique  une cigarette et bois un coup "à l'œil") ; qui donc l'a connu ?
Sc.

Bonjour,
La niche de la rue Saint-Augustin avait pu contenir Saint-Augustin ou une vierge, d'après Gilbert Attard. Nous cherchons toujours.
Il nous communique également des photos du croisement 62ème de ligne/Clémenceau où se trouve une autre niche avec une étrange statuette, le bras à moitié levé, dans une position qui doit correspondre à une attitude caractéristique du personnage. Mais laquelle ? De l'autre côté de la rue se trouvait la précédente mairie. Autour de cette place centrale avait été rassemblés les trois symboles de la puissance publique : L'église, la mairie et l'hôtel du commandant supérieur. Cette mairie ne fut pas la première, qui avait été située près des escaliers de la rue du 61ème de ligne.
La CP de Gilbert Attard, que je remercie, est en soi une curiosité car elle fut distribuée à Paris en deux jours, en 1902 !
Nouredine nous parlait d'une niche au coin d'une rue d'Oléans, qui montait vers le théâtre romain. Il doit confondre le nom de la rue mais il pensait certainement à cette niche-là.

bonjour michel,
effectivement c'est de cette niche que je parlais, j'avais transmis 2 photos une identique à la tienne mais de 1914 et une autre récente de 2014, côte à côte  mettant en relief cette niche, certainement des raisons de parution n'ont pas permis de les mettre en ligne. Elle est située à l'angle de l'ancienne banque société générale et au croisement rue nationale et celle qui monte vers les escaliers qui débouchent sur la rue du théâtre romain, elle trouve son prolongement côté opposé vers la montée de l'école victor hugo pour déboucher vers celle de l'arsenal donc cette  rue s'appellait avant 1962 la rue du 61ème de ligne.
la rue d'Orléans me revient c'est celle qui commence par des escaliers à la rue Clémenceau et qui monte vers les escaliers après la rue Hippocrate pour déboucher sur la rue derrière la gendarmerie.
Malheureusement je ne dispose pas d'anciens supports qui puissent m'aider, la mémoire peut être défaillante avec le temps et je m'en excuse, heureusement qu'il y a des personnes pour me corriger c'est bien que cela se fasse. merci pour ces infos.
amicalement
nourdine