Photos récentes de Skikda

deux fois encore le long message disparait, jacky au secours je stresse énormément j'arrête.amicalement

lire kleber au lieu de clauzel à partir de la place victor hugo, les initiés l'ont compris merci.

Merci Stef pour la confirmation de la goutte de lait, avec le commentaire de Nadia, le doute s'est installé en effet c'était une crêche peut être qu'après 1962 elle a accueilli des bébés de mères travailleuses ce qui expliquerait qu'elle ai prise l'appellation de goutte de lait, certains copains contactés aujourd'hui me disent que la goutte de lait c'est les escaliers pour ma part avant 1962 c'est celle du côté de la gendarmerie où l'activité était bénévole beaucoup d'infirmières passaient du temps dans ce lieu.

la photo quatre représent la rue du capitaine Droin, elle est située en haut des escaliers du lycée Luciani à droite,c'est un quartier calme par esxcellence au jour d'aujourd'hui si vous passez vous ne croiserez pas de gens au milieu de la rue il y a les escaliers très inclinés qui mènent vers une clinique ou maternité et enfin on débouche sur l'ancien lotissement PCP dit aussi cité Skikda des villas à un étage comme des maisonnettes avec un style bien particulier, sur cette rue on a des batiments en contre fort
avec de la végétation mais qui ont fait l'objet d'un glissement de terrain qui avait obstrué la rue gounot celle derrière l'école jules ferry, enfin les escaliers qui mènent à la rue Jughurta en croisant celle de l'arsenal où existait le cinéma le Rivoli dont le hall est devenu un magasin situé juste derrière l'ancienne caserne Mangin qui est devenu un lycée.

salut a tous,
Cette goutte de lait avec le biberon qui fait des ailes, il faut situer les périodes je commence par l'actuelle celle de Nadia qui se situe certainement après 1962, celle de Stef par le fait qu'il empruntait les escaliers pour l'école primaire ferdinand buisson, il était jeune je situe vers 194.... à Stef de nous donner la date et enfin notre vénéré jacky, cela ne peut-être qu'en deça de 194... ou à une période qui avoisine celle de stef à jacky de nous situer, il y a aussi notre ami recco qui a eu sa grande maman qui activait bénévolement qui pourrait nous éclairer.

Mon frère est né en 1940 il faut donc se référer à cette époque.
Bien à vous.
Jacky

Voici ce qu'écrit Emile Ledermann dans PHILIPPEVILLE et ses environs (1935):

"La Goutte de lait - Marie Felix
Oeuvre sociale de la plus haute portée, fondée en 1930.
Elle distribue par an près de 100 000 biberons. Les enfants sont pesés, suivis, soignés à la consultation gratuite des nourrissons.
La distribution des biberons dosés minutieusement suivant l'âge des enfants a lieu tous les matins de 9 h à 11 h.".

Michel

Le raisonnement est correct - aurait dit le prof de math - mais les hypothèses sont-elles vérifiées ? - demande maintenant l'historien. Ledermann ne donne aucune référence. Cherchons encore.

Bonjour à tous,
 Les photos 5 et 6 représentent un quartier connu de tous les Philippevillois, c'est le croisement de la rue Kleber avec celle des Aurès, de Scipion et enfin la montée à forte inclinaison qu'est la rue Clauzel, plus haut elle est traversée par le chemin du château d'eau où se situe la Clinique d'un grand Philippevillois  le Docteur Riccoux, dont je ne sais si c'est lui même ou un parent qui était à l'aéroclub et maire de cette ville. On a aussi un passage escalier qui relie la rue Clauzel (après celle du Château d'eau) à la rue Solférino  dénommé jusqu'à aujourd'hui " Pechart d'Ambly" du nom du premier maire de la ville, une photo récente de l'inscription en marbre témoigne toujours c'est le quartier des Grima, Boutonné, Terias, Tamburlain et les Cusumano de fréjus. C'est l'amour de ma ville et ses quartiers qui me pousse à commenter et à leur redonner vie si on pouvait raconter les anecdotes liées à chaque quartier décrit avec la participation des anciens résidents encore en vie c'est rendre hommage à cette ville si chère en nos coeurs. amicalement.

On continue la ballade les trois photos de plage représentent toujours cet endroit de oued tanger, la première illustre bien  pour ceux qui ont déjà connu cet endroit la tête du veau marin ou la pointe de oued bibi, d'une part et le côté droit de cette plage on distingue aussi les sept iles, cet endroit de par les ruines qui existent encore est un endroit protégé. Pour y accéder deux routes celle qui va vers les ex abbatoirs à droite (opposé à la rue de l'école) pour prendre celle du zouit et enfin une deuxième à partir de grande plage en partant de la ferme au fond celle de Tyar la route est défoncée.

on retourne à la ville et par la dixième photo, on distingue le fameux bar dit " LE BALLON" tenu à l'époque par les frère Fortuno, sa situation est à l'angle de la rue Henri Tessier et Amiral Courbet endroit incontournable des napolitains du quartier avec le bar à Patchi en face le cinéma le Colisée, on retrouve aussi l'hôtel pension et l'épicerie tenus par la famille des Dinapoli apparentée aux bOUCHET.
Ce quartier est celui des Biancalana, des Bissutyl, des Pandolfo, des Volpé je pense à une grande dame infirmière Francine, avec ses deux frères l'un reporter au journal de Constantine et l'autre courtier maritime au port, les Esposito,  les muphty,aussi les frères Assencio qui avait un magasin sur Henri Tessier tenu par le jeune frère qu'on appelait "petit homme", son grand frère était défenseur du sporting, c'est aussi le quartier des Mathiot  l'athmosphère qui y règnait était on ne peut dire " formidable". les femmes qui palabrent à partir des fenêtres tout en étendant le linge avec le système de " va et vient" à partir d'une corde et le verbe était haut et la gestuelle de mise, donnaient un cachet très particulier à ce quartier de rêve que j'ai hanté.

la onzième photo est celle du croisement de la rue d'Arcole avec celle de Françoix genoux, en partant de la porte de Constantine en face l'artisanat et la maison dite " mesquine" d'aide aux démunis, à droite  on a la montagne plongeante à partir du haut de la rue d'Aumales vers les remparts côté école Anatole France jusqu'à la rue montante décrite et qui va vers la rue Antoine Bruno prolongée vers le mont plaisant celle de françois genoux nous mène vers la villa de l'ancien maire Benket Creveau qui fait angle avec la rue du mont plaisant et vers les petites maisonnettes très caractéristiques, c'est le quartier des Renaud, des Gallardo et des Arricelli, des tamburlain , des Kerbi. Ce quartier est encore bien entretenu et plusieurs villas ont vu le jour, mais on s'y retrouve.

Effectivement Michel et ta mémoire est bonne, je dirais très bonne, il y avait un boucher qui était le cousine de Méziane et de leur vrai nom Temimi, ils étaient d'origine kabyle, celui de la rue henri tessier habitait la rue constantine juste derrière le théatre, son cousin était à l'angle de la rue valée et celle de france, il livrait l'armée qui avait une cambuse dans cette rue.

ce que j'ai noté lors de mes escapades à travers les quartiers de ma ville que j'affectionne beaucoup, parce que chacun à une histoire à raconter, je cherche , je cherche encore et encore le fil d'ariane qui me mènera vers les conteurs, vers ceux qui parlent avec amour de leur endroit de naissance ou de jeunesse, vers ceux qui à eux seuls peuvent raviver cette flamme qui commence à s'estomper petit à petit. il existe trois rues qui ont conservé encore leur ancienne appellation c'est la rue Jughurta ( celle qui descend à partir de l'immeuble grosso derrière le bâtiment dit le Musée) pour finir en haut du Rivoli  avec les escaliers qui mènent à la rue gounot et capitaine droin en haut de la rue de l'arsenal,
la rue du capitaine Khaled vers le mont plaisant supérieur elle débouche vers celle d'Aumales, la rue de la mosquée celle montante à partir de la place lambert vers le haut de la rue d'aumales ( côté école Anatole France) et enfin le passage Pechart d'Ambly du côté de la clinique riccoux.
On continuera la promenade vers d'autres quartiers.

salut Jacky,
j'ai mis du temps , les recherches n'ont pas été aisées , il y a même une amie du quartier napolitain qui s'est mis de la partie pour retrouver le message, et c'est au cours de mes recherches que j'ai retrouvé enfin le message de cette dame, il s'agit de l'armoire-vitrine que sa mère a acheté aux Colatrella et que cette armoire lui sert toujours de rangement. Fantastique non ! elle a résisté aux temps et à l'oubli, elle est chez la famille Cotté, je pense que tu dois connaitre cette famille au Dramont. AMICALEMENT.